Compte-rendu d'audience de l'intersyndicale avec le DI d'Occitanie

LES AGENTS constituent LE SYNDICAT qui organise LE CONTRE-POUVOIR ! Alors, impliquez-vous, ne cédez pas au fatalisme. Constituez un collectif, plébiscitez une cause commune à travers laquelle chacun se sentira valorisé. L'union fait la force et c'est seulement ainsi que la cause des travailleurs est toujours reconnue. Rejoignez notre union syndicale et venez porter vos contributions pour un quotidien au travail plus juste, plus valorisant et plus reconnaissant : rejoignez l'UNSA Douanes ! 

 

Vendredi après-midi, à la demande de l’intersyndicale, M. CANAL, DI d’Occitanie nous a reçus au siège de l’interrégion.
Nous avons évoqué dès le début de l’audience les sujets suivants : actualité du mouvement et l’attente de nouvelles propositions au niveau national, ainsi que l’actualité des centres viti et de la RI.


Le directeur interrégional nous a assuré qu’il n’a jamais voulu sanctionner les agents. Il voulait simplement garantir la « sécurité des agents » dans ces moments de conflit social.
Il constate que la situation en Occitanie est maîtrisée et encourageante pour reprendre les négociations au niveau national.
« Il n’y aura pas de 882, ni interrogatoire, ni d’intervention des forces de l’ordre », a -t-il déclaré.


Il souhaite également qu’au niveau de l’intersyndicale, il y ait apaisement et sérénité pour l’instant.
Nous lui avons répondu que nous partageons son point de vue, à la condition que les propositions du ministre soient à la hauteur.


La question de la dématérialisation de la gestion du parcellaire a été évoquée car elle inquiète grandement les services viti de l’interrégion.
Bien que peu informés de l’avancée de ce dossier, les administrateurs se veulent rassurants quant à la pérennité des services :« La dématérialisation entraîne une augmentation de la productivité mais en aucun cas une suppression de poste. » « Le contrôle des agents des douanes assure la qualité de la filière viticole. »


Au sujet de la RI, M. CANAL nous a affirmé n’avoir aucune information concernant l’avenir, notamment en ce qui concerne le transfert des missions à une agence unique de recouvrement.